A l’origine, il y a eu le tongue drum

Différents modèles de tongue drum sont disponibles sur Instruments du Monde. Visitez cette boutique en ligne pour découvrir à quoi ressemblent cet instrument de musique et les accessoires nécessaires à son utilisation. Vous pouvez aussi en acheter dessus. Le tongue drum est un concept : ce n’est pas un instrument spécifique. C’est un type d’instrument à percussion traditionnel que l’on retrouve chez plusieurs tribus de l’Amérique précolombienne et d’Afrique. Concrètement, il consiste en une boîte de résonnance en bois surmontée de lames, chacune de ces dernières correspondant à une note. La mélodie est obtenue en frappant sur les lames avec des maillets.

Puis est venu le hang drum

Le hang drum dérive du tongue drum. Felix Rohner et Sabina Schärer modernisent le tongue drum avec leur création. Eh oui, l’innovation artistique concerne également le milieu musical. Sur le hang drum, la boite de résonnance est désormais en acier et elle accueille des zones de frappes et non des lames. L’échelle diatonique et les gammes pentatoniques font leur apparition. Ici, il n’y a pas de maillets : seuls les mains et les doigts sont utilisés pour jouer un morceau. Le hang drum se décline désormais en de nombreux modèles.

Dernière précision : le Hank drums

C’est une version DIY du Hang drum. On la doit à Dennis Havlena. Grâce à ses talents de bricoleur, ce musicien et artisan révèle l’existence du tongue drum et du hang drum au grand public. Surtout, il démontre que la fabrication de ces instruments est à la portée de tous, en plus, en se servant de matériau recyclé. Ce détail a toute son importance à une époque où la préservation de l’environnement est une préoccupation sociétale. Dennis Havlena a recyclé une bouteille de gaz (propane) pour fabriquer le sien et l’a baptisé hank drum. Grâce à lui, le tongue drum et sa version moderne deviennent des instruments de musique populaire et se démocratisent.

La cymbale : un instrument de musique idiophone

Formée d’un disque en métal et troué au centre, la cymbale a déjà été utilisée depuis 3 siècles avant JC. La forme, l’alliage de métal, l’épaisseur et le diamètre tiennent compte de la variation du son émis par la cymbale. Ceux qui la jouent s’appellent les cymbalistes ou des cymbaliers. Pour la jouer, on frappe deux cymbales l’une contre l’autre ou en la frappant avec une baguette. On trouve surtout les cymbales dans les batteries. Les plus usés sont : le crash qu’on utilise pour appuyer les temps forts surtout dans le rock et le métal. La ride qui employée pour donner le tempo. La charleston ou hi-hat donne le rythme et marque le tempo à la batterie. La china ou chapeau chinois qui émet le son lourd et gras ressemblant au gong est une cymbale d’effet. La splash est une petite cymbale dite d’effet qui aide à pointer des accentuations. Elle a un son explosif et aigu.

Le tambour, un instrument de musique membranophone

Cet instrument de musique a existé depuis 6OOO ans avant JC. Puisqu’il est associé à la famille membranophone, il est constitué d’un cadre en forme de fût qui sert de caisse de résonance et de membranes qui sont tendues par-dessus. C’est un instrument de musique, certes, mais il peut servir aussi de moyen de communication selon les régions et les cultures de ceux qui l’utilisent. Le son est produit par la vibration des membranes obtenue par des coups de baguettes spéciales ou à la main parfois même le talon. Le tambourin est une sorte de tambour aussi mais plus allongé et moins large à frapper par une seule baguette.

Avoir une bonne notion de base

Quel que soit l’instrument en question, il est toujours nécessaire d’avoir une bonne notion de base en musique. Il ne s’agit pas forcément de connaître le solfège ni encore moins de savoir lire les notes, mais de savoir à peu près comment fonctionnent les notes, les tons et les temps.
Au lieu d’apprendre par cœur les accords, par exemple, à l’aide des différentes tablatures disponibles sur internet, il est toujours mieux de se renseigner dans les livres, sur internet ou auprès de professionnels comment ils se forment. Ceci étant pour vous éviter de vous perdre entre les accords mineurs, majeurs, 7ème, 9ème, etc dans le futur.

Entraîner les doigts aux accords

L’une des plus grandes difficultés des gens lorsqu’ils commencent tout juste la guitare, c’est de placer leurs doigts sur les bonnes cases et les bonnes cordes. Pour remédier à ce problème, le plus rapide et le plus facile, c’est d’essayer de se remémorer les principaux accords en forçant les mains et les doigts à faire les gestes appropriés de façon à ce que cela devienne automatique.

S’exercer fréquemment

Pour gagner en automatisme et en vitesse, rien ne vaut des exercices fréquents. C’est la seule façon d’être sûr de ne pas oublier les acquis et d’apprendre de nouvelles choses. Pour ce faire, vous pouvez par exemple choisir des morceaux relativement faciles que vous aimez bien pour vous motiver à vous exercer.
De cette façon, vous ne vous rendrez même pas compte des efforts que vous faites pour habituer vos mains à jouer des notes et des accords et vous aurez même encore plus envie d’en apprendre plus de façon à mieux comprendre le mode de fonctionnement général de l’instrument.

Étape 1 : bien choisir son harmonica

Dans la famille des instruments à vent, l’harmonica diatonique se caractérise par son côté intuitif si les autres types d’harmonica notamment l’harmonica chromatique requièrent un apprentissage poussé. À première vue, on remarque la présence de 10 trous à lamelles simples sur l’harmonica. Ce sont ces trous qui produisent les tonalités. Pour produire une note, le musicien doit souffler ou aspirer à travers les anches métalliques qui constituent l’instrument. Puisque chaque harmonica diatonique possède une tonalité propre à elle qu’il est possible de jouer différents jeux sur différents modèles. Un harmonica Hohner Blues Harps à 10 trous en Do est idéal pour débuter.

Étape 2 : déchiffrer les tablatures

Avec la majorité des instruments de musique, maîtriser le solfège est incontournable. Avec l’harmonica et la guitare, on retrouve une dérogation étonnante. Pour ces deux instruments, lire les tablatures suffit pour réussir à jouer de l’instrument d’une manière précise et juste. D’une manière simplifiée, la tablature se réfère à une figuration graphique reposant sur l’utilisation de chiffres et de lettres pour indiquer l’emplacement des doigts du musicien sur l’instrument.
Bien que les tablatures diffèrent d’un pays à un autre, elles répondent toutes au même principe ce qui rend leur déchiffrage plus simple.

La harpe à pédales

Aussi appelée harpe classique, la harpe à pédales est celle que les orchestres symphoniques utilisent souvent. Il s’agit du type de harpe la plus sophistiquée en possédant 47 cordes pour les harpes de concert et 40 à 46 cordes pour les harpes d’étude. Les cordes d’une harpe à pédales sont principalement faites en boyau, sauf celles qui accordent des sons plus graves et qui sont faites en métal ou en nylon. Les cordes qui accordent les sons plus aigus sont celles conçues en nylon. Certaines cordes d’une harpe à pédales sont colorées pour permettre au harpiste d’identifier les notes principales. En général, les do sont colorés en rouges et les fa en bleus ou en noirs. Enfin, une harpe à pédales peut être à simple ou à double mouvement.

La harpe chromatique

La harpe chromatique a été inventée pour faire concurrence avec la harpe diatonique à pédales. Ainsi, elle comprend 2 plans de cordes croisés, dont l’un pour les bécarres et l’autre pour les bémols et les dièses. La harpe chromatique permet la réalisation à grande vitesse de tous les traits chromatiques, sauf les glissandi, contrairement à la harpe diatonique.

La harpe celtique

La harpe celtique est un instrument musical central de l’univers celte. En général, elle possède 32 à 38 cordes. La harpe celtique est facilement reconnaissable grâce à son arc qui est toujours cintré. Elle peut avoir des cordes en métal, en boyau ou en nylon.

Choisissez votre instrument selon le type de son que vous aimeriez entendre

En matière de son, l’alto dégage une tonalité chaleureuse et réconfortante. À cet effet, il est possible de l’utiliser à diverses finalités dans un orchestre. Soit il joue le rôle des basses en substitution du violoncelle, soit il accompagne le violon dans les contre-chants pour s’accorder aux bois et aux cors. Quant au violon, il produit plutôt une intonation pétulante et aigüe. Il peut ainsi jouer un rôle prestigieux, aussi bien en musique de chambre qu’en orchestre. Ses atouts : son exubérance et sa profusion dans le cadre d’une mélodie donnée. A vous, donc, de choisir l’instrument qui correspond le mieux à vos attentes en matière de pratique.

Tenez compte de votre corpulence pour choisir votre instrument

L’alto et le violon sont à peu près similaires en matière de design. Cependant, sachez que le premier est beaucoup plus grand et large, et sa prise en main peut vous sembler plus complexe. Si vous avez des petits bras, commencez avec un violon. En tant que débutant, il est d’ailleurs préférable que vous optiez d’abord pour cet instrument, qui est plus fin et plus léger. Une fois que vous êtes à l’aise avec les diverses manipulations, vous pourrez facilement vous orienter vers l’alto si vous le voulez, ou rester sur le violon si vous y êtes attaché.

Violon et alto : des instruments de musique qui se complètent

Le violon et l’alto font partie des principaux éléments du quatuor, avec le violoncelle et la contrebasse. Même s’ils ont leurs particularités respectives et qu’ils ont chacun leur rôle à jouer dans l’orchestre, il est tout à fait possible de maîtriser les deux en même temps. L’accordage du violon et de l’alto est, à peu près, le même. Accorder votre instrument de musique avec la plus grande précision possible est indispensable pour éviter les dissonances et pour jouer en harmonie au sein d’un orchestre par exemple. Pour s’accorder, il faut une note de référence. Comme vous pouvez le voir sur le site https://www.lacartemusique.fr/blog/accordage-du-violon-et-de-lalto-n166, il existe divers outils que vous pouvez utiliser pour accorder votre violon ou votre alto. Il y a par exemple les diapasons, les sifflets, les accordeurs, les applications sur smartphones, ou encore un autre instrument comme une harpe, une guitare ou encore un piano. Ces outils produisent une note précise qui peut servir de référence. Vous trouverez aussi sur le site de nombreux autres conseils vous apprenant l’art d’accorder votre alto ou violon.
Si vous ne savez pas lequel de ces instruments choisir, commencez simplement par l’un et poursuivez par l’autre. Cela vous permettra de jouir d’une certaine polyvalence lorsque vous devenez membre d’un orchestre.

Les différents types d’instruments à vent

Il y a deux types d’instruments à vent : les instruments en cuivre et ceux en bois. La qualification est née des différents matériaux utilisés pour leur conception. La révolution technologique a favorisé l’apparition d’un troisième type d’instrument : celui en métal, qui est une variante des instruments en bois et ceux en cuivre, selon le son qu’il procure.

Leur conception

Selon l’histoire, les premiers instruments à vent ont fait leur apparition dès l’antiquité. Il étaient conçus à l’aide d’os. À l’époque, il n’y avait que la flûte qui a été conçue à l’aide d’un os long et le sifflet qui a été construit avec les os courts. Les hsitoiriens estiment la plus vieille flûte du monde a été créé il y a plus de 20 000 ans avant J.-C.
L’instrument à vent connait un réel succès durant la renaissance. De nouveaux sons beaucoup plus graves ont été créés ce qui a incité les concepteurs à créer des instruments beaucoup plus grands. Des clés ont été inventées pour empêcher le vent de sortir dans les trous inutiles. Les instruments à bois ont connu un essor important vers le début du XVIIe, mais les conceptions les plus complexes ont été abandonnées. la petite flûte détrône la petite flûte et la flûte de contrebasse qui ont connu d’importants succès jusqu’à l’arrivée de la flûte traversière. Vient ensuite le basson, qui produit des sons beaucoup plus graves que ceux de la flûte. Il est cependant beaucoup plus léger que la bombarde.

Sur quelle guitare apprendre à jouer ?

Pour les droitiers, la main droite vient frotter les cordes tandis que la main gauche réalise les accords sur la manche. Pour les gauchers, deux possibilités s’offrent à eux. Ils peuvent apprendre comme un droitier. En effet, jouer de la guitare n’est pas naturel. Donc, ils peuvent très bien apprendre sur une guitare classique à la manière d’un droitier. L’avantage avec cette option est qu’il n’est pas nécessaire de transporter sa guitare de gaucher toutes les fois où il doit jouer quelque part.
D’un autre côté, il y a les gauchers qui apprennent la guitare comme un gaucher. Ils frottent les cordes avec la main gauche et composent les accords avec la main droite. L’inconvénient avec cette option est qu’il est parfois difficile de trouver une guitare et même si on en trouve, il est assez coûteux.

Où trouver une guitare pour gaucher ?

Il est assez difficile de trouver une guitare avec un manche à droite dans les magasins. Le plus souvent, les guitaristes gauchers font appel aux services d’un luthier pour en trouver. Ainsi, ils pourront élaborer une guitare suivant leur style. Certains achètent aussi leur guitare en ligne. Mais, quelle que soit la solution adoptée, il faut toujours prévoir un budget conséquent.
Par ailleurs, il est aussi possible d’adapter une guitare traditionnelle pour un gaucher. Cela demande une grande adaptation de certains éléments. Avant tout, il faut inverser les cordes de guitare, ce qui conduit à changer le sillet de chevalet. Le pickguard ainsi que les boutons de contrôle doivent également être déplacés.